TORONTO (Reuters) – Les ventes et les prix des maisons dans la région du Grand Toronto (RGT) devraient chuter en 2023, la hausse des coûts d’emprunt pesant sur le marché, mais une amélioration est attendue au second semestre de l’année, le Toronto Regional Real Estate Board ( TRREB) prévu vendredi.
Les ventes de maisons dans la RGT devraient chuter à 70 000 cette année, contre 75 107 en 2022, ce qui serait le niveau le plus bas depuis 2001, tandis que le prix de vente moyen devrait chuter de 4 % pour s’établir à 1,14 million de dollars canadiens (854 125 $).
Pourtant, les prix des maisons devraient augmenter d’une moyenne de 1,04 million de dollars canadiens en janvier, le mois de données le plus récent. Les prix sur le marché autrefois brûlant ont chuté d’environ 22 % par rapport à leur sommet de février de l’année dernière.
« Ce sera une année de deux mi-temps en 2023. Le premier semestre ressemblera à l’automne 2022 en raison des effets persistants de la hausse des coûts d’emprunt et de l’incertitude économique qui y est associée », a déclaré Jason Mercer, analyste en chef du marché du TRREB, dans un communiqué. .
« La seconde moitié de 2023 devrait être caractérisée par une augmentation de la demande de logements en propriété, soutenue par des taux hypothécaires fixes plus bas, un marché du travail relativement résilient et une immigration record. »
La Banque du Canada a signalé une pause dans sa campagne de hausse des taux d’intérêt après avoir augmenté à un rythme record depuis mars à un sommet de 15 ans de 4,50 %.
(1 $ = 1,3347 dollar canadien)
(Reportage par Fergal Smith; Montage par Chizu Nomiyama)
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